BOURGTHEROULDE : 1843 / 1856

1843 – Des plans d'alignement de la route royale n° 138 de Bordeaux à Rouen dans la traversée de Bourgtheroulde sont établis selon les directives de la lettre du sous préfet du 30 mai. Le conseil regrette que l'on fasse des changements d'alignement lors de nouvelles constructions : depuis longtemps les façades des maisons du bourg de Bourgtheroulde sont alignées, mais approuve les alignements tracés.

Le 17 juillet, les nouveaux conseillers municipaux sont installés et prêtent serment.

1844 Pierre Jacques Vittecoq est nommé maire par arrêté du préfet du 4 novembre 1843 et prête serment le 30 avril. Perrinnelle est adjoint.

L'alignement du chemin de grande communication n° 5 du Neubourg à Bourgtheroulde est envisagé en juin.

La construction de la route n° 24 conduisant à La Mailleraye (*actuelle route de Thuit-Hébert) est programmée. Un plan parcellaire est établi pour désigner les terrains à acquérir en tenant compte des alignements qui sont acceptés lors de la réunion du conseil municipal du 10 août.

1845 – L'administration des Ponts et Chaussées veut s'emparer d'une parcelle de terrain faisant partie de la place publique communale à partir de l'église devant les maisons de Savouret, Poirier et Galot pour construire la future route de La Mailleraye. Elle a la prétention de ne pas payer la valeur de cette parcelle. La commune rappelle que lui sont déjà dus les anciens terrains ayant servi à la construction de la route royale (*actuelle route de Rouen). Le 5 mai, elle demande une indemnité pour les parcelles qui seront prises lors de la réalisation de la route de La Mailleraye et réitère sa demande d'indemnité des terrains pris en 1832 pour la route royale.

1846 - En janvier, défense est faite sous peine de poursuites de construire, reconstruire et réparer aucun bâtiment ou mur le long de la route du Neubourg sans en avoir obtenu la permission préalable.

Le 3 octobre, l'installation des nouveaux conseillers municipaux est effectuée.

Le 17, la démolition d'une maison nécessaire à l'élargissement du chemin du Neubourg est décidée. Mme Marthe Daché, épouse Alexis Langlois, sera indemnisée.

M. Vittecocq est réélu maire et prête serment le 28 novembre.

1847 - Au début de l'année, le prix du blé est élevé. Il y a vingt-cinq nécessiteux dans la commune. Dix chefs de famille gagnent trop peu. Des distributions de pain sont faites par des gens aisés. La commune vote mille francs à l'atelier de charité pour des secours et travaux utiles. Pour endiguer la mendicité, seules les personnes résidant dans la commune sont autorisées à demander la charité par arrêtés du maire et du préfet.

            En février, les places publiques, champ de foire et autour de l'église, sont empierrées. La place de l'ancien cimetière entre l'église et le chemin de Bourg Achard est nivelée.

En mai, il est fait une estimation des indemnités à accorder aux propriétaires qui cèdent des terrains et emplacements pour la confection de la route départementale de La Mailleraye qui passera par Bourg Achard. La commune réclame une nouvelle fois les dédommagements qui lui sont dus pour la construction de la route de Rouen. L'expert du gouvernement indique qu'aucune indemnisation ne sera faite : cette route a apporté de nombreux avantages. Il lui est alors rappelé la charte constitutionnelle de 1830, article 9 : indemnisations applicables aux particuliers, communes et bâtiments publics.

1848 - Louis Philippe, roi des Français, abdique après l'insurrection du 24 février 1848.

C'est sous son règne que le réseau des routes et des chemins a été transformé. La loi du 21 mai 1836 oblige les communes à entretenir leurs chemins vicinaux et les autorise à percevoir une taxe pour financer ces travaux. Elle charge les départements d'entretenir les chemins qui relient les communes entre elles. Ces chemins deviennent des routes départementales. Ce qui dota Bourgtheroulde des routes d'Elbeuf, de Thuit Hébert, de Brionne et de Rouen. Le 25 février 1848,

 

la Deuxième République est proclamée. La nouvelle constitution adoptée prévoit l'élection du chef de l'Etat au suffrage universel. Charles Louis Napoléon Bonaparte est élu président de la République le 10 décembre 1848. En 1852, l'empire est rétabli, jusqu'à la défaite de Sedan en 1870 qui sonne le glas du régime. Il est remplacé par la Troisième République. Ce qui explique les changements de maires au cours de ces années selon le sort que la politique leur réserve.

 

Au mois de mars 1848, une lettre du sous préfet indique les parcelles de terrain qui seront prises sur la commune pour l'élargissement et le redressement du chemin de grande communication n° 16 qui va à Appeville Annebault. Saint Amand cède gratuitement la parcelle n° 8.

Un atelier communal est établi en avril pour fournir du travail à la classe ouvrière : extraction de cailloux, entretien des chemins vicinaux et des places publiques en vertu d'une lettre du 22 mars adressée par les citoyens commissaires administrateurs provisoires du département de l'Eure.

Le 24 avril est appliqué un arrêté du 17 concernant la dissolution de l'administration communale et le conseil municipal de Bourgtheroulde. Lambert, Bouquet, Hoquigny, Heudebran, Vornier, Saint Amand et Constantin acceptent. Lair, Blesve, Poulard, Lecerf, Perinelle refusent. Vornier est élu secrétaire.

Vittecocq, précédemment maire, rend les comptes, papiers et mobiliers de la mairie le 27 avril. Il est fait une énumération des séries dont l'article 10 : dictionnaire topographique, statistique et historique du département de l'Eure (un volume non relié) - l'article 19 : pour les contributions atlas cadastral dressé en 1828 complet, matrice cadastrale aussi dressée en 1828 de 562 feuillets - article 21 : tableau des recensements des jeunes conscrits de l'an 9 à 1847 - article 46 : une liasse contenant sept pièces concernant la maison commune et les places publiques, une pièce concernant le terrain acquis par la commune des sieur et dame Vittecocq – article 60 : deux procès verbaux de pesage aux halles – article 61 : tableau des mouvements de la population de 1840 à 1847 – article 63 : armement de la Garde Nationale et des pompiers dont 29 fusils avec baïonnettes appartenant à la commune et 35 à l'Etat, 16 sabres sans baudriers à l'Etat, 31 sabres avec baudriers à la commune, 11 baudriers sans sabres, 34 gibernes avec leurs baudriers, 18 bricoles pour les pompiers avec leur piston, 1 fusil de chasse avec baïonnette pour le garde champêtre.

Le 6 mai le président de la séance est Bouquet, commissaire administrateur. L'ancien maire, Vittecocq,  est révoqué. Aucun maire n'est désigné ou élu. De nouveaux conseillers municipaux sont élus le 10 mai, mais pas de maire. Bouquet s'absente pour cause d'utilité publique. Hoquigny, administrateur principal, le remplace.

Le même mois, la rage fait sa réapparition si terrible dans ses effets et susceptible de se développer spécialement pendant les grandes chaleurs. Les chiens doivent être enchaînés, muselés. Ceux qui errent sont abattus. Le crieur public et des affiches informent les habitants des dangers encourus et des amendes qui seront infligées aux contrevenants.

Le 17 juillet, cent francs sont votés pour l'acquisition de pain. Cette denrée a été envoyée à Paris par le citoyen Bouquet lors des derniers événements.

Par décret du 3 juillet, une boîte fermant à clef est installée pour déposer les votes des douze conseillers municipaux.

Le 23 août, M. Vittecocq retrouve sa fonction de maire par lettre du sous préfet du 21. Le conseil municipal est  élu par assemblée électorale le 30 juillet. Mameaux, notaire, est adjoint.

Deux pétitions ont été adressées en février dernier par Sénateur Béranger, cordonnier, pour la suppression d'une partie d'un chemin et aliénation de la partie supprimée du dit chemin. Vittecocq et Poulard  réfutent la suppression d'une parcelle de l'ancien chemin dit d'Infreville, son aliénation au profit de la commune et en faveur des riverains de la parcelle supprimée. L'administration des Ponts et Chaussées prétend que ce qui précède appartient à l'Etat, ce que refuse la commune le 9 septembre.

Le 25 septembre, Bouquet, Hoquigny et Heudebran remettent l'administration de la commune. Ils ont en particulier envoyé six mille cartouches à l'administration provisoire de Pont-Audemer le 5 août 1848.

            La détresse de certains habitants de la commune est immense. Le 8 novembre, est dressé un état de la population mendiante. Par souscription particulière, Bourgtheroulde peut fournir à domicile à ses pauvres tous les secours nécessaires.

Une circulaire du préfet rappelle le décret de l'Assemblée Nationale du 14 octobre. Les drapeaux commandés à la Fabrique de Lyon seront distribués gratuitement aux bataillons des Gardes nationales qui en feront la demande. Bourgtheroulde accepte et s'engage à rembourser les frais d'envoi et d'emballage.

1849   Il y a 785 habitants à Bourgtheroulde.

Il est urgent de trouver des secours nécessaires aux indigents pour raison d'extension de la mendicité. Une souscription d'actes de bienfaisance est proposée le 8 octobre.

1850 - Il existe deux prisons à Bourgtheroulde. Elles sont malsaines. Il n'y a pas de lits de camp. La municipalité désire obtenir du Conseil Général de l'Eure au moins deux douzaines de couvertures par sa demande adressée le 10 août.

1851 – L'article 21 de la loi organique du 13 juin ordonne que les gardes nationales soient recensés. Ils seront désignés pour moitié par le conseil municipal et pour moitié par le préfet ou le sous préfet parmi les citoyens aptes à faire partie du service ordinaire. Le 7 octobre, six membres sont élus à bulletin secret : Lambert, Mameaux, Lecerf, Legendre, Poulard et Payen. Les bulletins sont brûlés immédiatement. A noter que les personnes élues cumulent pour la plupart la fonction de conseiller municipal avec leur métier ou emploi officiel : secrétaire des délibérations du conseil (Payen), commerçant, notaire, maître de la poste aux chevaux, propriétaires…

1852 - La portion de la route n° 12 de Bourgtheroulde à Gournay est en mauvais état depuis le pavé de la route royale n° 138 de Rouen à Bordeaux à l'entrée du bourg sur une longueur de deux cent trente-neuf mètres cinquante. Elle est trop fréquentée et ne possède pas de pente pour évacuer les eaux. Elle est plus étroite de trois mètres dix que dans toute son étendue. Au midi, il y a une rangée de maisons, au nord des grands arbres et des bâtiments, au levant un terrain plus élevé. Elle est empruntée par des voitures chargées de farines allant à Elbeuf et Rouen. Le conseil municipal demande le 10 février que ce bout de route soit pavé en grès.

Le 5 mai, le maire Vittecocq prête serment ainsi que l'adjoint : "Je jure obéissance à la Constitution, fidélité au Président" (*Charles Louis Napoléon Bonaparte élu le10 décembre 1848. En 1851, un plébiscite lui a donné la présidence pour 10 ans). Les conseillers municipaux lèvent la main droite et disent : "Je le jure". La commune est gérée par des administrateurs dits provisoires.

Le 15 mai, quarante francs sont portés au budget de l'année pour célébrer dignement le glorieux anniversaire du 15 août (*naissance de Napoléon 1er). La somme nécessaire sera prise sur les dépenses imprévues.

Par arrêté du préfet du 14 août, Vittcocq est nommé maire et Mameaux adjoint. Ils prêtent serment le 10 octobre. Ils ont été élus par l'assemblée électorale le 5 septembre.

 

Charles Louis Napoléon Bonaparte est devenu empereur des Français. L'empire a été rétabli en 1852 par un sénatus-consulte ratifié par un second plébiscite.

 

1853 – Le 8 février, la municipalité adresse une lettre à Napoléon III lors de son mariage avec Eugénie de Montijo :

 

"A sa Majesté Napoléon III Empereur des français – Sire, Le Conseil municipal de Bourgtheroulde (Eure) ouvre sa première session de 1853 en bénissant le jour où vous avez associé à votre glorieuse destinée la princesse Eugénie. En choisissant l'impératrice en dehors des familles couronnées et ne consultant comme vous l'avez dit si noblement que les impulsions de votre cœur, vous avez montré une fois de plus à la France, que vous étiez digne des réclamations populaires que vous avait décernées la couronne. En élevant au trône une princesse aussi remarquable par sa beauté que par ses vertus, vous goûterez les douces joies de la famille et vous consoliderez à jamais une dynastie qui nous permet d'espérer pour nous et pour nos enfants de longs jours de prospérité et de bonheur. Dans cette confiance, les soussignés ont l'honneur d'être de Votre Majesté, les très humbles et fidèles sujets."

 

Le 6 février, le conseil invite à nommer un expert pour contradiction avec l'expert de MM. Vittecocq, Gruel et Poulard pour l'estimation d'une parcelle de terrain de huit ares longeant la route de Bourgtheroulde à La Mailleraye leur appartenant. La commune se propose de l'acquérir à effet d'établir une place publique. Le 8, la commune se propose d'acquérir un terrain de quatre ares quatre-vingt-trois centiares appartenant aux mêmes personnes pour le prix de trois cent dix francs. Ce terrain est aussi situé le long de la route de Bourgtheroulde à La Mailleraye. La commune ne possède qu'une seule place d'une petite étendue insuffisante pour l'emplacement des bestiaux les jours de foire.

Une circulaire du préfet est appliquée le 26 février pour prêter le nouveau serment politique : "Je jure obéissance à la constitution et fidélité à l'empereur". Le maire, M. Vittecocq, tête découverte, prononce le serment à haute voix ainsi que M. Mameaux. Tous les conseillers se lèvent à l'appel de leur nom.

Une enquête d'utilité publique est ouverte le 3 septembre sur le tracé de l'embranchement du chemin de fer de Serquigny à Rouen. Deux directions sont proposées : l'une par la plaine du Neubourg passant par le Bec Hellouin et Tourville La Campagne, l'autre par le Roumois passant par Glos sur Risle et Berville en Roumois. Le conseil se prononce en faveur pour le tracé par le Roumois qui est conforme aux besoins. Les stations pourraient être établies sur la route départementale n° 24 et la route impériale au Val des Grès. Pour appuyer sa préférence, Bourgtheroulde affirme que la plaine du Neubourg est une contrée stérile et déserte, encombrée de

gorges et de ravins.

Un avis favorable à l'alignement de la route départementale n° 24 de Bourgtheroulde à La Mailleraye est donné le 20 septembre à la suite de l'enquête ouverte du 11 au 20 septembre.

En octobre, des variations importantes du prix du pain sont constatées. Un arrêté du 20 décembre 1852 impose que la taxe soit fixée tous les huit jours par l'autorité compétente. Les boulangers doivent s'y conformer à partir du 1er octobre de cette année.

M. Leseigneur, propriétaire d'une cour longeant la rue tendant à la mare Artus (*Arthur) à la route impériale de Rouen à Bordeaux s'oppose à la suppression de cette voie en novembre.

Le même mois, le commissaire de police demande à deux reprises qu'une lampe allumée soit apposée à sa porte durant le même temps que les réverbères. Ce qui lui est accordé.

Le pain est toujours aussi cher. Le préfet adresse une lettre pour en diminuer le prix. Une taxe sera fixée au-dessous de laquelle le prix du pain bis blanc et du pain bis ne pourra pas s'élever pour le consommateur. Il y a peu de population ouvrière à Bourgtheroulde… mais tous les ouvriers sont occupés et n'ont pas besoin de secours ! L'usage de faire deux espèces de pain n'est pas envisageable. Le pain bis n'a aucune chance de débit. Les boulangers du bourg cuisent aussi pour les autres communes environnantes…

En décembre le ministre de l'Intérieur ouvre un crédit de 4.000.000 de francs pour aider les communes qui offrent du travail pendant l'hiver aux classes ouvrières indigentes. Ces ressources sont employées aux travaux : terrassements, entretien des chemins communaux et bermes des chemins vicinaux, extraction de cailloux.

1854 – Bourgtheroulde a moins de 1000 habitants. La commune émet un avis favorable en septembre pour la création d'une Société de Secours Mutuel selon le décret du 26 janvier 1852 et l'organisation de ces sociétés.

La situation des ouvriers invalides et chargés de famille est critique. En novembre, il est prévu de leur procurer du secours pendant les six prochains mois.

1855 – En février, quarante-quatre francs de souscription sont donnés pour l'érection d'une statue de Napoléon Ier à Fontainebleau. Le gouvernement refuse cette somme qui est affectée au bureau de bienfaisance.

Les audiences de la justice de paix se tiennent dans une chambre mansardée, froide en hiver, chaude en été. Elle est mal éclairée. La solidité et la salubrité sont loin d'être désirables. Cette salle ne répond pas à la dignité due au sanctuaire de la justice. Elle est placée au-dessus de la prison qui appartient au département et dont la toiture est à refaire. Les réparations ont toujours été à la charge la commune. Deux cents francs de secours sont demandés au préfet le 5 février.

Par décret impérial du 14 juin et la loi du 5 mai, M. Vittecocq est nommé maire, Mameaux adjoint le 26 juin. Ils prêtent serment. Le conseil municipal est installé le 19 août et ses membres prêtent serment.

Le 11 août, cent francs sont votés pour célébrer la fête du 15 août. Cinquante francs sont accordés à cette occasion aux familles des soldats morts pour l'empereur Napoléon Ier. Des réjouissances publiques et des dons aux pauvres sont organisés.

Un impôt sur les chiens est décidé le 19 août : trois francs pour les chiens d'agrément ou servant à la chasse - un franc pour ceux servant à la garde des habitants, des troupeaux, à guider les aveugles.

L'inflation des denrées alimentaires conduit le préfet à ordonner des mesures à observer. Le pain est taxé à trente-quatre centimes alors que les consommateurs paient quarante centimes de taxes. Huit cents francs sont débloqués pour compenser la différence. Un impôt extraordinaire est voté pour les plus imposés jusqu'à la fin du mois de janvier 1856 pour aider la classe nécessiteuse.

1856 – Le 10 février, le maire et le conseil municipal adressent leurs félicitations à Napoléon III à l'occasion de la naissance du prince impérial :

 

"Sire, le Maire et le conseil municipal de la commune de Bourgtheroulde (Eure) ont l'honneur de déposer aux pieds du trône de Votre Majesté leurs félicitations à l'occasion de l'heureux événement dont la Providence vient si généreusement réjouir le cœur des Français. En effet, Sire, c'est pour tous un bonheur bien grand que la naissance d'un Prince, d'un héritier de l'Empire, pour continuer l'œuvre si digne, si bienfaisante, si glorieuse de son père, et assurer non seulement à la France, mais encore au monde entier, un nouveau gage de sérénité et de confiance. Le Maire et les membres du conseil municipal de Bourgtheroulde, Sire, forment les vœux les plus chers à la conservation de sa santé et à celle de son auguste mère. Ils ont l'honneur d'être avec le plus profond respect, Sire, de Votre Majesté, les très humbles, très obéissants et fidèles sujets".

 

Un plan de rétrécissement du chemin de la Queue Bourguignon provoque l'ouverture d'une enquête le 6 mai. La largeur actuelle est de trois mètres et serait réduite à deux mètres dix-neuf. La différence serait vendue aux propriétaires qui ont d'ailleurs déjà envahi une partie de ce chemin.

 

 



25/04/2009
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 2 autres membres