LA PÉRIODE RÉVOLUTIONNAIRE - 1795 (suite) - 1796 - 1797 - 1798 - 1799

Commence alors la chasse à tous ceux qui sont soupçonnés de faire du trafic de céréales et farines.  Les produits sont saisis et les contrevenants verbalisés.

 Le 8 Frimaire (29 novembre 1795), une habitante du bourg amène au bureau de la mairie une habitante de Sotteville chargée de 72 livres de blé.

Le 9, plusieurs femmes arrêtent une voiture attelée de deux chevaux, chargée de trois paniers contenant chacun : 176 livres, 177 livres et 268 livres de blé. La voiture est conduite par un habitant de Rouen qui présente des attestations en règle. La municipalité accorde sa protection en cas de besoin… mais réquisitionne les trois paniers de blé.

Le même jour, d'autres femmes arrêtent un cheval, chargé d'une pouche de 105 livres de blé, conduit par un habitant de Sahurs. D'autres femmes arrêtent un cheval portant une poche de 105 livres de farine conduit par une rouennaise.

 Le 10, deux femmes déclarent avoir arrêté un cheval chargé de deux poches. L'une contient 88 livres et demies  de blé, l'autre 169 livres de seigle. Le conducteur, originaire de Martot, est interpellé. Le même jour, deux hommes de la commune arrêtent sur le chemin d'Angoville deux individus conduisant chacun un cheval chargé d'une poche. Le premier conducteur est de Rouen. Son cheval porte 257 livres de farine. Le second demeure à Boêné ( ? - Lieu une première fois raturé. Ecriture hésitante pour la seconde). Son cheval est chargé de 140 livres de blé et 54 livres de farine.

Le 11, trois hommes sont arrêtés devant l'auberge de Massieux. Ils portent chacun une poche de blé. Tous sont de Maromme. Les poches contiennent : 77 livres, 73 livres et demies, 81 livres et demies.

Le même jour, plusieurs personnes, dont Pierre Louis Carité garde messier, arrêtent une voiture couverte attelée de deux chevaux conduite par un inconnu qui ne veut pas révéler son nom. Il travaille pour la citoyenne Lachey de Rouen. Deux paniers sont découverts dans la voiture. Dans le premier, plusieurs poches de farine, lesquelles, pesées, attestent 200 livres. Dans le deuxième, 200 livres de farine.

 Le même jour, quatre habitants arrêtent un cheval chargé de poches contenant 104 livres de farine. Le cheval est mené par des Rouennais. Le même jour, deux individus sont devant chez Cauvin. L'un est chargé d'une poche de farine, l'autre ne porte rien. Sommés de s'arrêter, celui chargé de la poche s'enfuit, l'autre protège la fuite du premier. Fourcherant, agent municipal, criant "Force à la loi", a recours à un gendarme qui loge chez Cauvin. L'agresseur tient Fourcherant par son écharpe. Les deux individus, originaires de Rouen, sont arrêtés et conduits au bureau de la maison commune. La poche est pesée : 101 livres.

             Le 15, cinq personnes de la commune arrêtent un  boury mâle  chargé d'un sac de blé de 203 livres conduit par un habitant de Rouen. Le boury (âne) est mis en séquestre chez l'aubergiste Pillon. Le 18, deux habitants arrêtent devant le moulin de Bourgtheroulde un cheval chargé de deux poches de blé et de farine, conduit par un rouennais et sa fille.

Le 21 (12 décembre), Louis Maridor de Freneuse avise qu'il apporte à Martin Maridor bourrelier à Bourgtheroulde 3 quintaux de farine provenant d'un champ situé à Freneuse appartenant au même Maridor.

Le même jour, Marguerite Adeline, préposée au service des étapes de Bourgtheroulde, présente une lettre du 16 Frimaire par laquelle le directeur des étapes à Rouen lui donne avis de l'arrivée de 350 hommes du bataillon du 92ème régiment qui doivent faire étape à Bourgtheroulde ce jour. Elle demande un procès-verbal constatant la non arrivée de ces 350 hommes et émet des doutes sur les denrées préparées pour la subsistance de la troupe attendue.

Le 9 Nivôse (30 décembre), Jean Mallin, gendarme de la 2ème division de Fontainebleau en stationnement à Bourgtheroulde, accompagné de Jean Prieur dit Lavallé et Marc Antoine Bourgallé de la commune, en allant prendre un verre chez l'aubergiste Pillon, trouvent deux inconnus occupés à boire dont l'un est revêtu d'un uniforme militaire. L'un d'eux ayant montré dix écus et dix livres se plaint d'avoir été volé par son camarade. Le gendarme s'est aperçu du larcin. Le voleur jette six francs sur la table en prétendant que c'est le montant du vol. Le gendarme fouille le voleur qui laisse glisser cinq autres écus derrière son dos. Mallin fait appeler l'agent municipal (*Fourcherant) qui constate deux infractions : le vol et le non-respect de la route pour rejoindre son corps par le délinquant. Son camarade n'a pas, lui aussi, rejoint son corps et a porté plusieurs coups au gendarme ! Les deux individus sont interpellés et conduits à la maison d'arrêt.

1796 - Le 12 Nivôse (2 janvier), après affiches et publications faites les 9, 11 et notamment le 12 au son de la cloche, sont procédés à l'adjudication au rabais de la perception et recouvrement des contributions foncières pour la troisième année, emprunt forcé et autres de la commune. Plusieurs personnes se présentent : Jean François Etard, Jacques Etard, Victoire Mutel épouse Lequesne, Pierre Levillain, Jean Louis Neveu, Benoît Fourcherant . Le premier demande 250.000 livres. Les enchères sont âprement débattues. Ne restent que Neveu, Fourcherant et la veuve Lequesne. Ces deux derniers s'affrontent jusqu'à ce que Fourcherant se voit adjuger la perception et les recouvrements de toutes les impositions du bourg pour… 16.000 livres ! Le 23, au son de la clochette, l'adjudication finale est attribuée officiellement. Fourcherant doit fournir bonne et suffisante caution. Pierre Nicolas Saint Amand, cultivateur, se porte garant.

Le 10 Pluviôse (30 janvier), un arrêté du département de l'Eure accorde la levée de 40 quintaux de blé dans la commune pour être portés au marché d'Elbeuf. Bourgtheroulde fournira 5 quintaux tous les mardis. Louis Jacques Loir, Jacques Delas, Robert Duménil, Pierre Le Gay, Jean le Doc sont réquisitionnés et fourniront chacun un quintal. La réquisition est délivrée aux susnommés par le garde messier.

Le 8, au son de la cloche, lecture est faite de l'arrêté de l'administration départementale concernant l'emprunt forcé. Personne ne se présente. La cloche est à nouveau sonnée. Il n'arrive que des enfants et quelques personnes de basse classe. Un procès verbal est dressé pour constater l'absence des habitants concernés.

Le 23, Benjamin Coquelin de Bourgtheroulde et Nicolas Joseph Firmin Lemaître d'Evreux, ouvriers cordonniers, déclarent qu'ils font partie d'une commission pour se rendre à l'atelier de cordonnerie de la commune afin d'y travailler pour le compte du gouvernement.

Le 5 Floréal (24 avril), Daniel Elie, lieutenant de la 1ère compagnie de la Garde Nationale déclare qu'il a été de service pendant la nuit avec les fusiliers du corps de garde. La nuit a été tranquille. Cependant, il est sorti pour effectuer une patrouille avec cinq fusiliers. Ils ont été poursuivis par les fils Bussy, Coulbeuf, Lassale dit Migrasse, tous trois de Bourgtheroulde, et Billette d'Infreville, depuis le corps de garde jusqu'à la Porte des Marchands. Les quatre individus se sont moqués d'eux et les ont insultés. Elie a fait arrêter la patrouille et a sommé les perturbateurs de se retirer au nom de la loi. Ce qu'ils ont fait en continuant de proférer des injures et en poursuivant la patrouille jusqu'à la maison commune avant de disparaître.

Le 8, un arrêté du département de l'Eure du 26 Ventôse dernier enjoint à la commune de Bourgtheroulde de fournir une voiture attelée de quatre chevaux pour aller prendre un chargement de fourrage au Bec le 10 courant. Trois chevaux de trait sont réquisitionnés chez un aubergiste et deux cultivateurs, une voiture et un cheval chez Cauvin (*maître de poste) qui expose qu'il a fait de nombreux voyages pour la République. A sa place, Jean Pierre Fouquet doit fournir une voiture et Lenoble un cheval.

Le 9, les agents municipaux se transportent chez les aubergistes et logeurs du bourg. Deux individus, Megard et Bouttechant sont trouvés chez Meaulle aubergiste. Ils sont arrêtés par la Garde, ne pouvant fournir de certificats valables, puis conduits dans la maison de sûreté. L'un d'eux s'évade. Ils ont laissé un cheval chez Meaulle. L'aubergiste ne peut présenter son registre, prétextant qu'il se trouve chez le président de l'administration pour le faire côter et parapher. Le 11, Benoît Fourcherant et Guillaume Leclerc agent de la commune d'Infreville se rendent chez Meaulle à l'hôtel de la Poste et lui demandent le cheval des individus arrêtés le 9. La bête est en fourrière chez lui. Meaulle présente une jument hors d'âge et apprend que Bouttechant s'est évadé dès sa mise en maison de sûreté. Les frais de séquestration de la jument seront payés à l'aubergiste.

Le 28, nouvel « exploit » des fils Bussy, Coulbeuf, Lasalle auxquels s'est joint le fils Savouret. Ils insultent des personnes logées chez Madeleine Bonne Mullot veuve Martin Roussel. Ils percent des trous dans la muraille avec des bâtons et jettent des immondices qui tachent les coiffures des jeunes filles qui se divertissent avant leur départ. Ils lancent des injures et les empêchent de danser. Ceci par vengeance, la veuve Roussel les ayant empêchés d'entrer, prétextant qu'il n'y avait que des filles et qu'elle ne voulait point de garçons.

Le 11 Prairial (30 mai), l'agent municipal de Bourgtheroulde requiert de l'agent municipal de Saint Philbert sur Boissey de mettre en réquisition de deux voitures attelées chacune de quatre chevaux pour aller prendre le 12 au Bec Héllouin un chargement de paille et fourrage pour les chevaux des gendarmes et ceux des charrois de la Marine en stationnement à Bourgtheroulde.

Le 17, le commandant de gendarmerie en stationnement dans la commune est réquisitionné ainsi que la Garde Nationale pour faire prendre des cocardes à tout individu qui n'en porte pas. Les récalcitrants sont arrêtés. Cette réquisition est faite au son de la clochette par le crieur ordinaire de la commune.

Le 23, sur le marché, une femme inconnue qui dit être de Saint Pierre du Bosguérard propose à la femme Bunuel de Saint Ouen de Thouberville un paquet de fil de coton à acheter. La femme Bunuel dépose deux paquets litigieux à la maison commune. A l'intérieur de l'un des paquets se trouve un morceau de tuile, dans l'autre une pierre blanche.

 Le 9 Messidor (27 juin), une lettre du ministère de la guerre demande quinze voitures attelées chacune de quatre chevaux pour se rendre le 10 à La Bouille pour y prendre un chargement d'avoine qui sera ensuite porté au départ du Bec Héllouin au magasin de remonte générale. Bosc Roger fournira trois voitures - Saint Ouen de Thuit-Heudebert 1 - Bosnormand 1 - Boscherville 2 - Marcouville 2 - Angoville 1 - Infreville 1 - Berville en Roumois 2 - Thuit Hébert 2.

Le 11, un habitant du Bec, marchand, passant vis-à-vis de la maison commune, est attaqué par plusieurs jeunes gens qui lancent une boule de quilles devant les sabots de son cheval. Le marchand est désarçonné et tombe. Le fait se passe en présence de différentes personnes. Le meneur est le fils de la veuve Roussel. Les garnements ont auparavant poursuivi les enfants de Petivalet de Boscherville qui viennent à l'école du bourg. La veuve Roussel, informée des incartades de son rejeton, répond qu'elle ne craint pas l'officier municipal et lui dit mille injures.

Le 13, l'agent municipal, accompagné de deux brigadiers du détachement de gendarmes stationnés à Bourgtheroulde dans la maison d'arrêt, constituent un corps de veille au bien du service de la République afin qu'il n'y ait aucun trouble. Un manœuvre, sapeur, employé au charroi de bois de marine, a abandonné son poste pour faucher du trèfle pour le citoyen Langlois de la commune. Pour sa défense, le sapeur répond qu'il travaille car il est mal payé par la République. Langlois lui fournit de la boisson. Le sapeur est traduit dans la maison d'arrêt.

Le 21, rixe dans le café de Jean Baptiste le Roy, qui est aussi cordonnier. Un gendarme logé chez Jacques Mullot et le sieur Lamy logé chez Nicolas Lenoble s'en prennent à Meaulle aubergiste de l'hôtel de la Poste. Le gendarme maltraite Meaulle, le prend aux cheveux, lui donne des coups de poing, saute un mur pour aller chercher son sabre. Les personnes présentes tentent en vain de le lui arracher. Le commandant en second du bataillon de la garde, le capitaine Lavallé et l'agent municipal rétablissent l'ordre et dressent procès-verbal. Ils remettent le gendarme au commissaire du pouvoir exécutif et demandent au commandant de gendarmerie de faire arrêter le perturbateur pour cause de trouble.

Le 22, deux gendarmes font du tapage chez l'aubergiste Meaulle et veulent maltraiter son épouse. Elle leur a dit qu'elle n'avait pas de vin à leur donner. L'un des gendarmes a l'insolence de lever la main pour couvrir la figure de l'agent municipal arrivé pour rétablir l'ordre. Ses camarades l'en empêchent, sinon l'agent municipal auroit été décoré. Les gendarmes ont menacé la femme Meaulle de tout briser dans la maison. L'un d'eux a ouvert la table en deux avec son sabre, en disant son regret de ne pas avoir tué Meaulle la veille. Elle l'a menacé d'envoyer sa servante chercher l'agent municipal. Le gendarme a répondu qu'il l'emmerdait.

Le 25, plusieurs vétérans et officiers de la 121ème compagnie font savoir que le pain donné par l'étapier n'est pas capable d'entrer dans le corps humain. L'agent municipal constate que ce pain d'étape est de très mauvaise qualité. La farine provient du magasin militaire de Pont-Audemer. Il se saisit d'une ration pour la présenter à l'administration du pouvoir exécutif.

Le 2 Fructidor (19 août), plainte de deux volontaires au 3ème régiment d'infanterie compagnie 1 et 6 : l'étapier les envoie chez le boucher qui ne veut pas leur délivrer de viande. L'agent municipal se rend chez Coulbeuf, boucher de l'étape, qui dit par deux fois vouloir être payé avant de donner la viande. Procès verbal est dressé et le boucher est convoqué au bureau.

Le même jour, l'adjudant conduisant dix-sept chevaux du convoi de transport militaire venant d'Alençon et logé à Bourgtheroulde le jour même dépose une plainte. L'étapier ne peut lui fournir du fourrage pour les chevaux. Pour sa défense, l'étapier indique qu'il n'a plus de ressources financières : il ne dispose plus que de deux quintaux de farine pour les troupes, le boucher tenu de fournir les soldats en viande n'est pas payé depuis longtemps et refuse de livrer de la nourriture, du pain a été emprunté aux aubergistes du bourg. Il est demandé de l'aide au département pour approvisionner l'étape.

Le 14 Vendémiaire an 5 ( 5 octobre 1796), un habitant de Bourgtheroulde injurie l'agent municipal en présence de témoins. Il le traite de coquin, voleur, gueux et dernier des hommes ainsi que tous les autres agents car il doit payer deux fois la même somme d'impôt. Il menace de tuer Fourcherant. L'insulteur sera poursuivi devant le tribunal.

Le 19 Brumaire (8 novembre), Quenel, conducteur des chevaux d'artillerie en station dans la commune pour le service du génie, accompagné d'un caporal,  porte plainte : l'étapier n'a rien en magasin. Pas de blé, ni avoine, ni fourrage. L'agent communal trouve seulement dix rations de pain dans son magasin. Il faut aussi nourrir quatre charretiers conduisant huit chevaux attelés aux voitures transportant les bois destinés au génie.

Le 3 Frimaire (23 novembre), une lettre du commissaire des guerres de la 1ère division militaire de Caen en date du 29 pluviôse prévient que, par ordre du ministre, le 7ème régiment de chasseurs à cheval composé d'environ 850 hommes et 500 chevaux doit loger le 6 à Bourgtheroulde. Subsistance et logement doivent être assurés. L'étapier assume ses fonctions. Le régiment n'est pas arrivé à Bourgtheroulde le jour dit. Il en résulte une perte évidente au détriment de l'étapier, notamment sur la viande. Un certificat constatant les faits lui est délivré.

1797 - Le 8 Ventôse (27 janvier), une jeune fille du bourg d'environ vingt ans se présente pour déclarer qu'elle est enceinte d'à peu près huit mois d'un gendarme qui a stationné dans le bourg… Un futur enfant de la Patrie ? C'est ainsi que l'on nommait à l'époque les enfants des mères célibataires.

Le 18 Vendémiaire an 6 (9 octobre), aux termes de la loi et proclamation du Directoire Exécutif et arrêté du département est donnée réquisition : l'agent municipal requiert les citoyens Jean Baptiste Harel, Louis Boismare, Jean Deschamp, Jean Savouret, Louis Huet, Jean Louis Neveu, le fils d'Adrien Duhamel, Alphonse Lasalle, de cette commune, de se rendre le 24 du mois à six heures du matin à la maison commune au son de la cloche pour aller au cy-devant district de Pont Audemer pour que la visite de leur exemption soit faite devant le jury. Faute de s'y rendre, ils seront conduits sur-le-champ au dépôt d'Evreux. Le 20, c'est au tour d'Augustin Legay et Pierre Pain d'être réquisitionnés ; le 22 Thomas Joseph Quesney. Tous trois sont volontaires de la commune.

1798 – Bourgtheroulde connaît le premier divorce prononcé dans la commune. Il a lieu le 25 Prairial an 6 (13 juin 1798). Il est enregistré à Bourg Achard le 7 Messidor, puis chez Pourpoint notaire suivant audience du juge de paix du 23 Messidor. La proclamation est faite à Rouen le 1er Thermidor an 6 par Nicolas Jean Bernard, huissier. Trois actes de non conciliation ont précédé ce divorce par assemblée des familles dans la maison commune les 12 Messidor, 12 Fructidor de l'an 5 et 15 Frimaire de l'an 6. La cause est une incompatibilité d'humeur et de caractère. L'épouse n'a pas daigné comparaître. L'acte de signification du divorce est fait à Honorine Beaulard, épouse de Sanson Le François. Ils s'étaient mariés le 16 octobre 1793. L'époux divorcé, né à Bernay le 9 décembre 1767, se remarie le 6 Messidor de l'an 7 (24 juin 1799) avec Marguerite Thariel marchande couturière.

 

La période révolutionnaire se termine le 9 novembre 1799.

 

 

 



23/04/2009
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